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Genève, Suisse - Lors du sixième événement d'une série de conférences sur le thème « consolidation de la paix et les droits de l'homme », la Fédération pour la paix universelle, en collaboration avec la « Geneva Interfaith and Interculturel Alliance » et la Fédération des femmes pour la paix mondiale, a parrainé deux sessions à l'Organisation des Nations Unies à Genève le 15 Mai 2009 pour marquer la Journée Internationale des Familles.

Genève, Suisse - Lors du sixième événement d'une série de conférences sur le thème « consolidation de la paix et les droits de l'homme », la Fédération pour la paix universelle, en collaboration avec la « Geneva Interfaith and Interculturel Alliance » et la Fédération des femmes pour la paix mondiale, a parrainé deux sessions à l'Organisation des Nations Unies à Genève le 15 Mai 2009 pour marquer la Journée internationale des familles.

Afin de renforcer le thème déclaré de cette année par l'Organisation des Nations Unies, « les mères et les familles: les défis dans un monde en mutation », le rôle charnière de la mère dans la famille a occupé le devant de la scène à la première session de la conférence.

Le président de la séance, le Dr Alpha Ayandé, directeur de Synergie pour le développement et le partenariat international, a introduit le thème de la famille dans son contexte social actuel. Afton Beutler, président de la Commission sur le statut des femmes au sein du Groupe de travail de la CONGO sur le thème "Santé et droits de l'homme", et Sonia Billard-Fattah, coordinatrice pour les questions féminines et de l'éducation en ligne à l'Institut des Nations Unies pour la recherche sur le désarmement, ont traité des aspects très pratiques de la mère comme bâtisseuse de paix dans son rôle de "nourricière, éducatrice, et modèle» dans sa communauté. La nécessité d'améliorer les systèmes de soutien pour les femmes jeunes et plus âgées a été évoquée.


Michel Reymond, Directeur de la FPU à Genève, a présenté une perspective plus théorique concernant le rôle des parents et des membres de la famille dans la construction de la paix dans le monde, en donnant des orientations pour un scénario idéal. Répondant aux points de vue présentés, plutôt positifs, Dr. Christiane Agboton Johnson, directrice adjointe de l'Institut des Nations Unies pour la recherche sur le désarmement, a rappelé aux participants le rôle destructeur que la famille peut jouer dans certains cas de violations des droits humains, telles que les mutilations génitales ou crimes d'honneur. Comme prévu, ce défi majeur a souligné un autre point commun des déclarations des orateurs précédents - la priorité d'accès à l'éducation - y compris l'éducation basée sur les valeurs. Il a été noté que la célébration de cette journée chaque année est censée être une opportunité de créer une plus grande prise de conscience de la situation actuelle à laquelle les familles sont confrontées et d'explorer la façon dont l'ONU, les gouvernements et les organisations de la société civile peuvent contribuer à leur amélioration.

Dans la deuxième session, quatre des 12 délégués du Conseil interreligieux des jeunes de la « Geneva Interfaith and Interculturel Alliance » ont lu des déclarations préparées à l'avance sur la famille. Dorcas Pimizi (Chrétienne), Marwa Mahmod (musulmane), Jasdeep Singh (Sikh), et Nina Habermacher (Baha'i) ont été introduits par Carolyn Handschin. Lorsque chacun des représentants ont lu leur texte, ils ont montré une étonnante similitude dans leur analyse du rôle de la famille dans la société d'aujourd'hui en tant que force indispensable de stabilité, renforcement et éducation. Comme cela est reconnu par toutes les grandes religions, selon la déclaration d'un des délégués, lorsqu'il n'y aura aucune distinction entre la famille physique et celle du quartier tout autour, nous vivrons dans une culture de paix. C'est ce que les religions enseignent.

A la fin de la séance, une « résolution du Conseil interreligieux des jeunes sur la famille » a mis en relief la contribution que la religion peut avoir dans la famille et que la famille peut avoir dans la guérison de nos communautés. Celle-ci a commencé par « En tant que Conseil interreligieux des jeunes, nous nous sentons comme une seule famille. Nous avons appris que le respect mutuel peut créer l'unité au sein des familles et entre les cultures et les religions. La famille a besoin d'un soutien moral et spirituel afin de réaliser l'unité au sein de celle-ci. Donner la priorité à l'éducation des femmes contribuera à la réalisation de l'égalité entre les hommes et les femmes. Le concept de valeurs familiales est le seul moyen de créer une paix et une prospérité durables. Dans une famille chaque membre est unique, ce qui implique que chacun a un caractère différent avec ses faiblesses et ses atouts, mais qu'ils sont tous appelés à avancer ensemble. Par conséquent, la religion peut être un facteur propice à l'orientation de la famille vers l'égalité de ses membres, tout en aidant celle-ci à devenir un exemple dans la société, ainsi créant une base solide et indispensable sur laquelle une société forte peut être construite. »

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