60 ans après sa signature, la Déclaration universelle des droits de l'homme a plus brillé par le verbe que par les actes. Les jeunes pourraient être les vecteurs du changement et amener la paix là où leurs aînés n'y arrivent pas.
Mesdames, Messieurs,
Réunis aujourd’hui au sein des Nations Unies, nous, jeunes appartenant à différentes religions, sommes heureux de témoigner de notre enthousiasme et de notre ambition d’œuvrer, à notre mesure et selon nos capacités, pour le dialogue interreligieux et pour la paix.
Nous, l’assemblée des dirigeants des religions du monde et des communautés de croyants, unis dans la conviction que la paix mondiale est réalisable, conscients de nos responsabilités envers cet idéal, déclarant solennellement les principes de la Charte des Nations Unies et de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, à savoir dépasser la tolérance pour embrasser la diversité afin de créer une seule famille mondiale, déclarons par le présent acte que les religions et les communautés de croyants peuvent et doivent :
Je suis Pimizi Dorcas, originaire du Togo, j’ai complété mes études de théologie et je suis actuellement en stage pastoral et interreligieux. De confession chrétienne, je participe aux cultes de l’Eglise Evangélique.