Plus de 300 responsables religieux, politiques et de la société civile se sont réunis au siège de l'Organisation des Nations unies, à New York, le 2 décembre, pour célébrer le 60e anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l’homme et s’interroger sur la possibilité de mieux répondre à une nouvelle vague de violations des droits de l’homme dans le monde entier.
Allocution du Dr Hyun Jin Moon, le 2 décembre 2008 au siège de l’Organisation des Nations unies, New York, États-Unis.
Deux cent vingt dirigeants du monde, et notamment des Premiers ministres, des présidents, des ministres d’État, des diplomates et des responsables civiques et religieux, ont pris part au troisième Sommet pour la paix mondiale parrainé par la Fédération pour la paix universelle à Séoul, en Corée, du 9 au 13 février 2008.
Doter les Nations unies d’un conseil interreligieux : l’idée paraissait incongrue voilà quelques années. Pourquoi donc associer les puissances spirituelles aux États pour rechercher la paix ? Or l’actualité montre bien qu’il ne s’agit pas d’un gadget.